lundi 29 novembre 2010

Journée mondiale climat






8 décembre : Journée Mondiale du Climat


Y'a plus d'saisons ma bonne dame... à l'initiative de plusieurs associations écologiques de France et de Belgique, nous fêtons, le 8 décembre, la journée mondiale du climat (ou journée mondiale contre le changement climatique).

Réchauffement climatique
Il ne se passe plus une semaine sans qu'on nous parle du réchauffement climatique et des conséquences qu'il fait peser sur l'avenir de la planète. Il n'est pas dans notre propops de prendre le contre-pieds de cette thèse "officielle", mais notre indépendance éditoriale nous oblige à signaler que la communauté scientifique n'est pas unanime et que les nombreux sites internet qui relayent ces "vérités" préfabriquées ne démontrent pas grand chose... à les écouter, il "suffirait" de réduire de façon draconienne la consommation d'énergie sur la planète... les faits sont souvent plus complexes et l'histoire de la planète s'inscrit dans une longue alternance de périodes chaudes et glaciaires.

Nous avons donc recherché des sites environnementaux qui nous paraissaient donner des informations plus fiables et nous vous proposons de les visiter (leurs contenus reDes associations écologistes organisent aujourd'hui la Journée mondiale du climat. Nom de code : "10/10/10" (10 octobre 2010). "Cela va être, je pense, la journée d'action citoyenne la plus suivie de l'histoire de la planète", s'est plu à annoncer Bill McKibben, cofondateur du mouvement 350.org, à l'origine de cette journée. L'idée étant que "les gens découragés transforment leur frustration en actions".

Destinée à encouragé les citoyens à multiplier les petits gestes écologiques pour donner l'exemple à leurs dirigeants, cette initiative vise surtout à pousser les Etats à renforcer leurs actions contre le réchauffement climatique. A deux mois de la conférence internationale sur le climat, à Cancun (Mexique, 29 novembre-10 décembre), l'objectif est d'effacer la déception qui avait prévalu l'an dernier, à l'issue du Sommet de Copenhague.

7 000 événements en 24 heures dans 188 pays

Nettoyage de cours d'eau aux Etats-Unis, journée sans voiture dans le Pacifique (Tonga, Papouasie-Nouvelle Guinée), course aux déchets et sculptures d'ordures à Pékin, arbres replantés en République démocratique du Congo et aux îles Fidji... Au total quelque 7 000 événements sont prévus ou en cours dans 188 pays. Le coup d'envoi a été donné en Australie et en Nouvelle-Zélande ce matin, avant de se prolonger sur le continent asiatique.

En France, entre autres, la fondation GoodPlanet, présidée par Yann Arthus-Bertrand, relaye l'initiative, avec pour objectif que chacun r éduise volontairement ses émissions de gaz à effet de serre de 10 %. Des entreprises, des clubs de sport ou encore des mairies, dont Paris, Bordeaux, Lyon et Lille proposent diverses animations (balades à vélo, concerts gratuits, cours de jardinage, sensibilisation au tri, etc.) Plus d'infos sur l'opération dans le monde et en France : www.350.org et www.1010.fr

stant sous la responsabilité de leurs auteurs) .



Bibliographie:
Site : http://www.journee-mondiale.com/187/8_decembre-climat.htm
Date de Consultation : 29/11/10

Site: http://www.metrofrance.com/info/journee-mondiale-d-actions-pour-le-climat/mjjj!DC321c2f0P6/
Date de Consultation: 29/11/10

Photo:
Site : http://mpj2009.files.wordpress.com/2009/12/glace-rechauffement-climatique-wwf.jpg
Date de Consultation : 29/11/10

10 Octobre: Journée mondiale pour le climat

(1)Le coup d’envoi a été donné dimanche matin en Australie. L’opération "10:10:10" a fait ensuite le tour du monde. Selon les estimations, l’opération en faveur du climat, qui a reçu le soutien du secrétaire général des Nations unies Ban Ki-Moon, a mobilisé près d’un million de personnes dans plus d’une quarantaine de pays. Paris fait partie des capitales qui se sont engagées.
Cette journée baptisée "10:10:10" s’est tenue à la fin de la semaine de négociations sous l’égide de l’ONU qui s’est tenue à Tianjin, en Chine, où les délégués de plus de 170 pays ont tenté de relancer le processus de négociations sur le climat à moins de deux mois du Sommet de Cancun. Des milliers de "petits" gestes se sont multipliés à travers le monde tout au long du dimanche pour pour donner l’exemple aux dirigeants de la planète. Le président des Maldives, pays qui risque de disparaître à terme sous l’effet de la montée des océans, a installé des panneaux solaires sur le toit de sa maison. A Pékin, des jeunes ont couru dans la ville pour collecter des ordures que des artistes vont ensuite sculpter. Au Ghana, une ballade a été organisée autour de lieux menacés par le réchauffement climatique. Autres exemples parmi de nombreux autres : un « Téléthon du climat » aux Pays-Bas, un festival écolo à Buenos Aires ou encore une ballade à vélo à Barcelone.

(2)La Journée mondiale sur le climat, organisée par l'ONG 350.org, s'est tenue comme prévue le 10 octobre 2010 dans plusieurs. L'organisation 350.org vise à sensibiliser les dirigeants du monde entier sur les problèmes du réchauffement du climat à travers l'organisation de milliers d'actions locales dans le monde.

Cet évènement est considéré comme la plus longue journée d'engagements citoyens pour le climat à travers 7.000 manifestations annoncées dans 188 pays. "Les seuls pays qui n'y prennent pas part, à notre connaissance, sont la Guinée équatoriale, San Marin et la Corée du Nord " a déclaré le cofondateur de 350.org Bill McKibben.


Bibliographie:
Texte (1):
Auteur: Philippe Martin
Consultation le: 29/11/2010
Texte (2):
Auteur: Ushuaïa
Consultation le: 29/11/2010

dimanche 14 novembre 2010

28 novembre: Journée mondiale sans achats


(1)La journée sans achat ou « Buy Nothing Day » (BND) aux États-Unis est une manifestation non-violente de boycott des achats, pour protester contre les gâchis de la société de consommation. Reprise internationalement par Adbusters, l'opération fut lancée en 1992 par le canadien Ted Dave avec le slogan « enough is enough! » (« assez c'est assez ! »). La première fois elle s'appelait « No shop day ».

Les organisateurs de cette manifestation justifient leur action pour protester contre la société de consommation et ce qu'elle entraîne : dégradation de l'environnement, exploitation des populations ou encore perte des valeurs humaines, emprise de la publicité qui pousse à avoir plutôt que d'être.

La Journée sans achats a lieu le dernier vendredi (Amérique du nord) ou samedi (Europe) de novembre.


(2)Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.

La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !

Lancé à l’initiative de la
Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.


Bibliographie:

Texte 1:
Consultation le:14/11/10
Texte 2:
Consulté le: 14/11/10

Bibliographie photo:
Consultation le:14/11/10

Journée mondiale sans achats



Et si on profitait de la crise pour s’arrêter et réfléchir ?
En cette période de crise financière mondiale, la journée sans achat célébrée le 26 novembre peut vous permettre d’aborder les thèmes de la consommation et de la publicité.



Le pouvoir de dire non ?
Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.

La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !

Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.

La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.

On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ?




Bibliographie:
Date de Consultation : 14/11/10
Site : http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
Site :http://www.difusion.com/ideas_details/2/385/4690/journee_sans_achats.html

Photo:
Date de Consultation: 14/11/10
Site : http://fslimousin.free.fr/IMG/jpg/2006jsa_af-pe2.jpg

mercredi 10 novembre 2010

Pollution et Mobilité urbaine





La concentration et l’activité humaine dans les villes accroissent effectivement l’importance des pollutions.

La nature des déchets et la dispersion des habitations humaines dans les campagnes où vivait plus de 70 % de la population française avant 1950, limitait fortement la pollution domestique qui ne dépassait pas le cadre de la ferme.
Aujourd’hui, la majeure partie de la population d’Europe occidentale vit en ville (en France 80 %) et l’addition d’un très grand nombre de pollutions élémentaires, par les réseaux d’égouts et les dispositifs de collecte d’ordures ménagères, provoque le rejet de grandes quantités de déchets, en un même endroit.

Quatre types de pollutions peuvent être distingués.

La pollution de l’air : elle résulte aujourd’hui d’abord des gaz rejetés par les véhicules automobiles, mais également des gaz rejetés par les appareils de chauffage au fuel domestique et des gaz et poussières émanant des industries. Ces gaz toxiques contiennent principalement des oxydes de carbone, d’azote et de soufre ainsi que des particules de carbone imbrûlées (poussières noires) qui provoquent des maladies des voies respiratoires et une anémie chronique.

La pollution des eaux : il s’agit du rejet dans les rivières et les lacs des matières organiques mêlées à des détergents et des micropolluants. Elles provoquent une forte chute de la quantité d’oxygène dissous dans l’eau, à la suite de sa consommation par l’oxydation de ces rejets.

La pollution sonore : six millions de français habitent en zone bruyante où leurs activités quotidiennes sont perturbées.

La pollution des sols : l’extension des zones urbaines qui s’accompagne du bétonnage et du goudronnage des surfaces viabilisées, stérilise et imperméabilise les sols. Une pollution encore plus grave peut se produire sur des sites industriels, par exemple à la suite de l’enfouissement ou du ruissellement de déchets toxiques.


Une part croissante de la population habite dans des pôles urbains de plus en plus étendus. Dans ce contexte, la mobilité est un droit générique ouvrant l’accès à tous les autres droits (sociaux, culturels, médicaux…). Avec l'Institut pour la ville en mouvement (IVM), qu’il a créé en 2000, le groupe PSA Peugeot Citroën s’engage et contribue aux défis futurs en matière de développement durable et responsable.

La mobilité est un enjeu de société. Des millions de personnes circulent à bord de véhicules Peugeot ou Citroën ; il est donc de la responsabilité de PSA Peugeot Citroën de fabriquer des voitures propres et sûres. Mais, le Groupe doit aussi prendre en considération le milieu dans lequel évolue l'automobile notamment dans les zones urbaines.

L’évolution de la démographie, de l’étalement urbain font que tous les modes de transport, individuels ou collectifs, doivent être complémentaires. PSA entend s’investir dans la réflexion sur l’inter modalité et la multi modalité des transports.

Bibliographie :

Texte 1
La mobilité urbaine : l'Institut pour la ville en mouvement, un engagement du groupe
Date : 31/10/10
Disponbile: http://environnement.ecoles.free.fr/la%20pollution%20urbaine.htm

Texte 2
Nom du site : La Pollution Urbaine
Date : 31/10/10
Disponible: http://www.psa-peugeot-citroen.com/fr/psa_groupe/mobilite_b3.php

Photo:
Date: 31/10/10
Disponible : http://www.quebecurbain.qc.ca/archives/pol.jpg

La Journée Mondiale Sans Voiture






La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.

Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.

Depuis 2007, cette journée mondiale tend à être remplacée par une semaine de la mobilité qui vise à promouvoir l'usage des transports en communs...


Elle a lieu chaque année le 22 septembre et si elle est en France peu à peu remplacée par la semaine de la mobilité durable, elle n'a pas pour autant complètement disparu. Cette journée est une opération avant tout axée sur les villes puisque les urbains sont les premiers à souffrir de l'obsession de la bagnole que beaucoup semblent présenter, encourageant la pollution environnementale, bien sûr, avec les émissions de gaz à effets de serre et de particules fines nocives pour la santé, mais également sonore et visuelle. Ajoutez à cela le danger encouru par les piétons et les cyclistes et vous obtenez la liste des arguments avancés par les tenants de la ville sans voiture.

Bibliographie :

Nom du site : 22 septembre : Journée Mondiale sans voiture
Consultation : 31/10/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

Nom du site :Écologie
Consultation : 31/10/10http://www.caradisiac.com/Le-22-septembre-c-est-la-journee-mondiale-sans-voiture-61294.htm

Photo:
Consultation : 31/10/10
Disponible : http://enrageeverte.bangbangblog.com/files/2009/09/090902ville-sans-voiture_8.jpg

Alimentation saine




L'alimentation saine développe un corps en santé et est essentielle pour maintenir un poids santé. Le Guide alimentaire canadien et d'autres publications en nutrition fournissent des renseignements sur les exigences nutritives pour vous aider à choisir des aliments de qualité nutritionnelle. Vous pouvez aussi vous servir des étiquettes de nutrition sur les produits alimentaires pour vous aider à faire des choix diététiques sains.
Que pouvez-vous faire?
Bien manger ne signifie pas abandonner vos aliments préférés, mais de les choisir de façon sensée. Essayez quelques-unes des suggestions suivantes lors de votre choix d'aliments :
Choisissez une variété d'aliments de tous les groupes comme les fruits, les légumes, les produits laitiers et les grains.
Privilégiez les produits céréaliers, les légumes et les fruits.
Optez plus souvent pour des aliments faibles en gras.
Faites de l'activité physique régulièrement et adoptez une alimentation saine afin d'atteindre et maintenir un poids santé.
Vérifiez les étiquettes nutritionnelles sur les produits alimentaires afin de mieux pouvoir les comparer, déterminer leur apport en vitamines et en minéraux, pour savoir s'ils répondent à d'autres exigences diététiques et si vous devez réduire ou augmenter la consommation d'un aliment en particulier.
Ressources disponibles
En plus du Guide alimentaire canadien, la section sur l'alimentation saine vous fournira des guides et références en nutrition pour les tout-petits, pour les jeunes et pour les femmes qui sont ou essaient de devenir enceintes. Le programme Vitalité vous offre des FAQ ainsi que des rapports et publications répondront à vos questions sur la nutrition et le poids santé. Vous pouvez même vérifier si vous avez un poids santé en utilisant le calculateur d'indice de masse corporelle.

Bibliographie:
Date de Consultation : 11/10/10
Site: http://www.hc-sc.gc.ca/hl-vs/eat-aliment/index-fra.php

Photo:
Date de Consultation: 11/10/10
Site : http://www.google.es/imgres?imgurl=http://www.baby.be/fr/IMG/jpg/Algemeen_FR.p2.jpg&imgrefurl=http://www.baby.be/fr/alimentation-bebe/&usg=__kSvH4U5fZwor2u3CqjzR5ziAU44=&h=268&w=254&sz=22&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=0y75hvdsXhmC3M:&tbnh=116&tbnw=107&prev=/images%3Fq%3Dalimentation%2Bsaine%26hl%3Des%26biw%3D1362%26bih%3D503%26gbv%3D2%26tbs%3Disch:1&itbs=1&iact=rc&dur=329&ei=weraTNTvJofEvgPohM3GCA&oei=weraTNTvJofEvgPohM3GCA&esq=1&page=1&ndsp=23&ved=1t:429,r:9,s:0&tx=92&ty=69

La malnutrition



La malnutrition doit être définie comme une pathologie, et non comme un état. Il s'agit d'une pathologie systémique aux conséquences multiples et d'étiologies tout aussi variées. L'idée d'une séparation entre une approche quantitative et qualitative est à la fois obsolète et réductrice.

La malnutrition, que ce soit dans l'approche qu'en proposent l'Organisation mondiale de la santé, les organisations humanitaires d'urgence s'y consacrant, ou les différentes études effectuées sur le sujet, peut être la conséquence de plusieurs facteurs, le plus souvent associés. Les carences alimentaires, qu'elles soient quantitatives ou qualitatives (et elles sont souvent les deux), sont une cause très fréquente conduisant à un état de malnutrition. Cependant, d'autres facteurs entrent très souvent en jeu.

On pourra prendre plusieurs exemples pour illustrer ce que représente la malnutrition :

  • Le Niger, été 2005 : les principaux cas de malnutrition rencontrés sont essentiellement dus à une carence majeure en apport alimentaire, du fait de la prolongation de la sècheresse et de l'invasion des zones cultivables par des criquets, ces deux causes ayant conduit à des récoltes largement insuffisantes.
  • Le Libéria, 2004-2005 : l'apport alimentaire est suffisant pour les populations, à la fois grâce à des récoltes et des importations non négligeables, ainsi que grâce à des distributions alimentaires régulières par le PAM. Cependant, les taux de malnutrition sont importants, surtout dans les zones urbaines. Le principal problème identifié tient essentiellement à des pratiques de soins inadaptées, dont les causes sont multiples. Les mères ne sont pas en mesure de fournir à leur enfant des soins efficaces, du fait d'un déficit cognitif, de troubles post-traumatiques, d'une relation pathologique avec l'enfant, etc.

Les causes

L’état nutritionnel individuel dépend de l'interaction entre les aliments qui sont consommés, de l’état de santé général et de l'environnement physique. La malnutrition est à la fois un trouble médical et social, souvent ancré dans la pauvreté. Associée à la pauvreté, la malnutrition contribue au cercle vicieux créé par un fardeau accru de maladies, un retard de développement et une aptitude réduite au travail. La mauvaise qualité de l'eau et des conditions médiocres d'assainissement sont des déterminants importants à cet égard, mais parfois les améliorations ne profitent pas à la population entière, par exemple lorsque les riches seulement ont les moyens de payer pour de meilleurs approvisionnements en eau ou lorsque l'irrigation est utilisée pour produire des cultures d'exportation. Les conflits civils et les guerres contribuent à l'augmentation de la malnutrition en endommageant les infrastructures d'approvisionnement en eau et en contaminant les approvisionnements.

Ampleur du problème

Les pénuries alimentaires chroniques touchent environ 792 millions de personnes dans le monde (FAO 2000), dont 20% de la population des pays en développement. Dans le monde, la malnutrition touche une personne sur trois et chacune de ses formes principales éclipse la plupart des autres maladies à l’échelle mondiale. La malnutrition affecte tous les groupes d’âge, mais elle est particulièrement fréquente chez les pauvres et ceux qui ont un accès insuffisant à l'eau propre et à un assainissement de bonne qualité et sont privés d’éducation sanitaire. Plus de 70% des enfants souffrant de malnutrition protéino-énergétique vivent en Asie, 26% vivent en Afrique et 4% en Amérique latine et dans les Caraïbes (OMS 2000).


Bibliographie:

Texte 1:
Date de consultation: 14/10/2010

Texte 2:
Date de consultation: 14/10/2010

Bibliographie photo:
Date de consultation: 14/10/2010