mercredi 10 novembre 2010

Pollution et Mobilité urbaine





La concentration et l’activité humaine dans les villes accroissent effectivement l’importance des pollutions.

La nature des déchets et la dispersion des habitations humaines dans les campagnes où vivait plus de 70 % de la population française avant 1950, limitait fortement la pollution domestique qui ne dépassait pas le cadre de la ferme.
Aujourd’hui, la majeure partie de la population d’Europe occidentale vit en ville (en France 80 %) et l’addition d’un très grand nombre de pollutions élémentaires, par les réseaux d’égouts et les dispositifs de collecte d’ordures ménagères, provoque le rejet de grandes quantités de déchets, en un même endroit.

Quatre types de pollutions peuvent être distingués.

La pollution de l’air : elle résulte aujourd’hui d’abord des gaz rejetés par les véhicules automobiles, mais également des gaz rejetés par les appareils de chauffage au fuel domestique et des gaz et poussières émanant des industries. Ces gaz toxiques contiennent principalement des oxydes de carbone, d’azote et de soufre ainsi que des particules de carbone imbrûlées (poussières noires) qui provoquent des maladies des voies respiratoires et une anémie chronique.

La pollution des eaux : il s’agit du rejet dans les rivières et les lacs des matières organiques mêlées à des détergents et des micropolluants. Elles provoquent une forte chute de la quantité d’oxygène dissous dans l’eau, à la suite de sa consommation par l’oxydation de ces rejets.

La pollution sonore : six millions de français habitent en zone bruyante où leurs activités quotidiennes sont perturbées.

La pollution des sols : l’extension des zones urbaines qui s’accompagne du bétonnage et du goudronnage des surfaces viabilisées, stérilise et imperméabilise les sols. Une pollution encore plus grave peut se produire sur des sites industriels, par exemple à la suite de l’enfouissement ou du ruissellement de déchets toxiques.


Une part croissante de la population habite dans des pôles urbains de plus en plus étendus. Dans ce contexte, la mobilité est un droit générique ouvrant l’accès à tous les autres droits (sociaux, culturels, médicaux…). Avec l'Institut pour la ville en mouvement (IVM), qu’il a créé en 2000, le groupe PSA Peugeot Citroën s’engage et contribue aux défis futurs en matière de développement durable et responsable.

La mobilité est un enjeu de société. Des millions de personnes circulent à bord de véhicules Peugeot ou Citroën ; il est donc de la responsabilité de PSA Peugeot Citroën de fabriquer des voitures propres et sûres. Mais, le Groupe doit aussi prendre en considération le milieu dans lequel évolue l'automobile notamment dans les zones urbaines.

L’évolution de la démographie, de l’étalement urbain font que tous les modes de transport, individuels ou collectifs, doivent être complémentaires. PSA entend s’investir dans la réflexion sur l’inter modalité et la multi modalité des transports.

Bibliographie :

Texte 1
La mobilité urbaine : l'Institut pour la ville en mouvement, un engagement du groupe
Date : 31/10/10
Disponbile: http://environnement.ecoles.free.fr/la%20pollution%20urbaine.htm

Texte 2
Nom du site : La Pollution Urbaine
Date : 31/10/10
Disponible: http://www.psa-peugeot-citroen.com/fr/psa_groupe/mobilite_b3.php

Photo:
Date: 31/10/10
Disponible : http://www.quebecurbain.qc.ca/archives/pol.jpg

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